Le 10 août, Trivalis organisait une deuxième journée de collecte de signaux maritimes périmés pour préserver ses équipements d’incendie. Grâce à cette opération exceptionnelle et au total, plus de 13 000 produits dangereux écartés.
L’organisation de la deuxième journée de collecte de signaux maritimes périmés a été identique à la première : collecte dans les ports de Talmont-Saint-Hilaire, des Sables d’Olonne, de Saint-Gilles-Croix-de-Vie, de l’Ile d’Yeu et de l’Ile de Noirmoutier. Trivalis avait, derechef, missionné des artificiers habilités pour recueillir ces produits dangereux dans ces 5 ports vendéens.
Quand 9 400 produits, soit 2 tonnes de déchets, ont été apportés par les plaisanciers le 6 juillet, d’autres en ont apporté que 3 620, soit 868 kg de déchets, le 10 août. Il est probable que la première journée de collecte ait permis à de nombreuses personnes de se débarrasser d’anciens stocks, parfois même de très anciens.
Avec cette opération, le syndicat départemental estime avoir assaini la situation en Vendée. Pour les produits d’aujourd’hui, les plaisanciers, en achetant de nouveaux signaux maritimes, doivent rapporter les anciens. C’est le principe du 1 pour 1 qui vaut, comme pour les appareils ménagers électriques et électroniques.
Comme en juillet, les capitaineries ont assuré le relais de l’information, pour la journée du 6 août, auprès de leurs contacts. Cette collaboration a été précieuse pour Trivalis.