Le compost fourni au monde agricole, depuis les usines de tri-compostage vendéennes, respecte la norme NFU 44-051. Il fait mieux encore. Ce produit supporte parfaitement la comparaison avec le label Terrom plus exigeant que la norme européenne.
Le label Terrom est issu du travail de la Fnade, Fédération nationale des activités de dépollution et de l’environnement, de Méthéor, association pour la méthanisation écologique des déchets, et de la FNCC, Fédération nationale des collectivités de compostage. Ce label vise les composts issus du traitement des ordures ménagères et comporte des critères plus sévères que la norme NFU 44-051.
« L’objectif est de satisfaire les besoins du monde agricole et de favoriser le retour au sol de la matière organique » soulignait Jean-Marc Boursier, président de la Fnade, à la définition de ce label.
« Ce label Terrom s’appuie sur la norme NFU 44-051, avec des exigences plus fortes : une teneur en matière sèche améliorée de 50 %, et des seuils d’innocuité pour les indésirables réduits de 10 % » indiquait Serge Blache, président de la FNCC.
Ce label s’adresse aux 35 installations de tri-compostage et aux 11 unités de tri-méthanisation qui produisent environ 400 000 tonnes de compost chaque année en France.
Depuis le début d’année, les composts produits à Trivalandes et à Trivalonne sont comparés, sans rougir, aux critères du label Terrom. « La qualité de notre compost est acquise depuis les débuts de sa production » se satisfait Hervé Robineau.
Depuis la production de compost, Trivalis communique les résultats d’analyses du produit sur son site Internet. Cliquez ici.